Chères lectrices, chers lecteurs,
voici le lien de téléchargement:
la-colombe-du-dimanche-numero-57-edition-du-5-fevrier-2017
Ce dimanche nous réfléchissons sur les œuvres caritatives, aspect important des communautés chrétiennes. Comment se développent-elles? Quel est en fait le seul chef d’orchestre de toutes ces bonnes œuvres?
Bonne lecture et bon dimanche!
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Une oeuvre de charité est en elle-même un frein à la réhabilitation de chacun. L’Armée du Salut aujourd’hui n’a plus le même but qu’à sa création. Réabiliter une personne ou lui offrir de l’aide sont deux choses entièrement différentes. La deuxième empêche la première. De mémoire, cela doit être Romains 11 ou 12 et Jacques 4 qui parle des personnes qui ont peu d’honneur. C’est TRES différent d’une oeuvre de charité. Une oeuvre de charité crée deux sortes de personnes (deux sortes de status). D’un coté ceux qui aident et de l’autre ceux qui sont aidés …
La personne qui aide considère l’autre par son statut et le projette dans l’avenir comme « une personne à aider ». La personne voit l’autre « spirituellement » , la voit comme identique à elle-même, et la projette totalement différemment dans l’avenir. Ne pas considérer quelqu’un comme « autre » que soi-même, c’est ne pas faire une oeuvre de charité. L’Armée du Salut était bibliquement carrément l’église. Si tu lis dans la Bible ce qu’est réellement l’église, cela n’a rien à voir avec le culte du dimanche matin pratiqué de nos jours.
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(Il manque QUI dans cette phrase: La personne QUI voit l’autre “spirituellement” , la voit comme identique à elle-même, et la projette totalement différemment dans l’avenir)
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